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De haute lutte
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Le 25 novembre 2023, le SSCC Lutte de Sotteville-lès-Rouen devient champion de France par équipe pour la troisième fois en six ans. Un incroyable destin national pour un petit club familial. Rencontre avec Pascal Delamare, son président historique et charismatique.
Il est 19 h, un soir de début décembre. La nuit est tombée depuis peu sur le stade municipal Jean-Adret, haut lieu du sport sottevillais. Les imposants projecteurs éclairent généreusement les nombreux athlètes se dépensant sans compter sur la piste d’athlétisme. En s’engouffrant sous les gradins de l’imposante tribune officielle, un autre monde s’ouvre aux visiteurs. C’est ici le royaume des basketteurs, escrimeurs, judokas ou encore lutteurs. Pascal Delamare, président de la section lutte du SSCC (Stade Sottevillais Cheminot Club), suit d’un œil attentif l’entraînement du jour.
« La salle d’entraînement commence à devenir trop petite. Depuis nos trois titres de champion de France, le nombre d’adhérents ne cesse d’augmenter », confie Pascal Delamare. Un engouement populaire autour du club qui se traduit également en tribune. « Le 25 novembre dernier, le jour de la finale, il y avait 500 spectateurs et une ambiance superbe. Quand on a commencé en division 1, il y avait à peine 40 personnes dans les gradins de la salle omnisport. »
Cette notoriété grandissante ne change pas le fonctionnement du club, qui reste profondément familial. « Comme tous les bénévoles qui m’entourent, je suis un enfant du club. Je suis rentré comme lutteur à l’âge de 10 ans. J’ai été entraîneur à 35 ans, puis directeur technique. Et je prends toujours autant de plaisir à présider le club depuis presque 15 ans. »
Aux yeux de Pascal Delamare, la plus belle réussite du SSCC Lutte est de pouvoir concilier succès sportif et valeurs autour de la tolérance et de la mixité sociale. « Le club compte dans ses rangs de nombreux lutteurs d’origine tchétchène, afghane, algérienne, tunisienne ou marocaine. Malgré des cultures et des modes de vie parfois différents, nos adhérents se respectent mutuellement. Nous formons tous une grande famille, c’est une vraie fierté. »
Ambitionnant de rester le numéro un des clubs de lutte français, Pascal Delamare sait pouvoir compter sur le Département de la Seine-Maritime, «un partenaire institutionnel important », qui soutiendra notamment le SSCC Lutte dans l’organisation du tournoi international de lutte libre et gréco-romaine devant se dérouler à Sotteville-lès-Rouen en mars 2024.
Il est 19 h, un soir de début décembre. La nuit est tombée depuis peu sur le stade municipal Jean-Adret, haut lieu du sport sottevillais. Les imposants projecteurs éclairent généreusement les nombreux athlètes se dépensant sans compter sur la piste d’athlétisme. En s’engouffrant sous les gradins de l’imposante tribune officielle, un autre monde s’ouvre aux visiteurs. C’est ici le royaume des basketteurs, escrimeurs, judokas ou encore lutteurs. Pascal Delamare, président de la section lutte du SSCC (Stade Sottevillais Cheminot Club), suit d’un œil attentif l’entraînement du jour.
« La salle d’entraînement commence à devenir trop petite. Depuis nos trois titres de champion de France, le nombre d’adhérents ne cesse d’augmenter », confie Pascal Delamare. Un engouement populaire autour du club qui se traduit également en tribune. « Le 25 novembre dernier, le jour de la finale, il y avait 500 spectateurs et une ambiance superbe. Quand on a commencé en division 1, il y avait à peine 40 personnes dans les gradins de la salle omnisport. »
Cette notoriété grandissante ne change pas le fonctionnement du club, qui reste profondément familial. « Comme tous les bénévoles qui m’entourent, je suis un enfant du club. Je suis rentré comme lutteur à l’âge de 10 ans. J’ai été entraîneur à 35 ans, puis directeur technique. Et je prends toujours autant de plaisir à présider le club depuis presque 15 ans. »
Aux yeux de Pascal Delamare, la plus belle réussite du SSCC Lutte est de pouvoir concilier succès sportif et valeurs autour de la tolérance et de la mixité sociale. « Le club compte dans ses rangs de nombreux lutteurs d’origine tchétchène, afghane, algérienne, tunisienne ou marocaine. Malgré des cultures et des modes de vie parfois différents, nos adhérents se respectent mutuellement. Nous formons tous une grande famille, c’est une vraie fierté. »
Ambitionnant de rester le numéro un des clubs de lutte français, Pascal Delamare sait pouvoir compter sur le Département de la Seine-Maritime, «un partenaire institutionnel important », qui soutiendra notamment le SSCC Lutte dans l’organisation du tournoi international de lutte libre et gréco-romaine devant se dérouler à Sotteville-lès-Rouen en mars 2024.